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La psychologie humaniste expliquée

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La psychologie humaniste expliquée
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La psychologie humaniste, également appelée humanisme psychologique, est apparue aux États-Unis à partir des années 1940, principalement sous l'impulsion d'Abraham Maslow. Souvent désignée comme la "troisième force" en psychologie, elle s'est développée après la psychanalyse et le comportementalisme (béhaviorisme). Cette approche repose sur une conception fondamentalement positive de l'être humain.

Avez-vous entendu parler de cette branche de la psychologie sans vraiment comprendre ce qui la distingue des autres courants ? En fait, l'humanisme psychologique s'articule autour d'une idée centrale : chaque personne possède une dynamique naturelle et une capacité de créativité renouvelée qui agissent pour réaliser son plein potentiel.

Contrairement à d'autres approches psychologiques, les principaux représentants de ce courant, notamment Carl Rogers et Abraham Maslow, considéraient que les êtres humains naissent avec le désir de grandir, de créer et d'aimer, et qu'ils ont le pouvoir de diriger leur propre vie. C'est précisément cette vision que nous allons explorer ensemble, en révélant les aspects souvent méconnus de cette approche psychologique influente.

Points clés

La psychologie humaniste révèle des aspects souvent méconnus qui transforment notre compréhension de la nature humaine et du développement personnel.

• La psychologie humaniste est née comme "troisième force" pour contrer le déterminisme du béhaviorisme et de la psychanalyse

• Chaque personne possède une capacité innée d'autodétermination et une tendance naturelle vers l'actualisation de soi

• L'expérience subjective et le cadre de référence interne sont plus importants que les grilles d'analyse externes

• Malgré ses apports, cette approche présente des limites culturelles et un manque de rigueur scientifique souvent ignorés

• Son influence moderne s'étend à l'éducation, l'écopsychologie, l'art-thérapie et les pratiques holistiques de santé mentale

Cette vision optimiste de l'être humain continue de transformer notre approche du développement personnel et de la thérapie, en plaçant la personne au centre de son propre processus de croissance plutôt que de la considérer comme un simple objet d'étude ou de traitement.

Origines de la psychologie humaniste

Dans les années 1940-1950, un nouveau mouvement psychologique prend racine aux États-Unis, né d'une profonde insatisfaction à l'égard des théories dominantes de l'époque. Cette approche alternative émergera comme une réponse directe aux visions de l'être humain qu'elle jugeait incomplètes ou erronées.

Une réponse aux limites du béhaviorisme et de la psychanalyse

L'approche humaniste s'est développée en réaction directe à ce que ses fondateurs considéraient comme des lacunes fondamentales au sein des deux courants majeurs de la psychologie. D'une part, elle rejetait fermement les hypothèses du béhaviorisme, caractérisé comme déterministe, centré sur le renforcement du comportement stimulus-réponse et fortement dépendant de la recherche animale [1]. D'autre part, elle contestait l'approche psychodynamique parce qu'elle était elle-même déterministe, avec des forces irrationnelles et instinctives inconscientes qui, selon la psychanalyse, déterminent la pensée et le comportement humains [1].

Carl Rogers reprochait particulièrement à la psychanalyse freudienne d'avoir une vision trop négative de l'être humain [2]. En effet, contrairement à la théorie freudienne qui opposait au « Ça », jugé tumultueux, l'ordre apporté par la civilisation, le courant humaniste reconnaissait la capacité de l'être humain à s'autocréer en permanence [3].

Parallèlement, Rogers critiquait les béhavioristes pour leur tendance à considérer l'homme comme une simple machine [2]. Cette vision mécaniciste réduisait, selon lui, la complexité humaine à des schémas de conditionnement trop simplistes.

L'émergence de la « troisième force »

C'est dans ce contexte que la psychologie humaniste s'est imposée comme une véritable alternative, souvent appelée la « troisième force » en psychologie [4]. Cette appellation souligne sa position distincte par rapport aux deux autres courants dominants : la psychanalyse et le comportementalisme.

En 1954, Abraham Maslow constitua un fichier de 150 noms de collègues psychologues qui se reconnaissaient dans cette nouvelle approche [3]. Quelques années plus tard, en 1961, ces praticiens créèrent ensemble l'American Association for Humanistic Psychology, avec des figures de proue comme Gordon Allport, Paul Tillich, Viktor Frankl et bien sûr Carl Rogers [3].

L'influence de ce mouvement s'est considérablement étendue tout au long des années 1970 et 1980, offrant notamment [1] :

  • Un nouvel ensemble de valeurs pour comprendre la nature humaine

  • Un horizon élargi de méthodes d'investigation du comportement

  • Une gamme plus large de méthodes thérapeutiques plus efficaces

Humanisme psychologie : sens et portée

La définition de l'humanisme en psychologie trouve ses racines étymologiques dans le substantif latin humanitas qui définit les qualités spécifiques de la nature humaine [4]. Plus précisément, l'humanitas cicéronienne porte en elle différentes perspectives : une facilité dans les rapports interpersonnels, un sentiment d'attachement et une solidarité envers les autres [4].

Au cœur de cette approche réside l'idée fondamentale qu'il existe en chacun une dynamique naturelle, une capacité de créativité renouvelée, qui agit en vue de la réalisation de son potentiel [3]. Contrairement aux courants précédents, la définition psychologique de l'humanisme s'articule autour d'une vision fondamentalement positive de l'être humain et de ses capacités de changement [2].

La psychologie humaniste s'intéresse essentiellement à l'expérience concrète de l'homme existant, c'est-à-dire à son être-au-monde [5]. À ce titre, elle considère la condition humaine comme une condition d'être en relation et, par définition, la subjectivité comme une intersubjectivité [5].

Cette conception optimiste de l'humain se caractérise par le goût de la science, de l'enseignement et de la culture, fondée sur l'esprit critique, la courtoisie et l'élégance morale [4]. En somme, l'approche humaniste vise à développer le plein potentiel de chaque individu plutôt que de simplement traiter des troubles ou corriger des comportements.

Les piliers fondateurs de l'approche humaniste

L'approche humaniste en psychologie repose sur plusieurs principes fondamentaux qui la distinguent nettement des autres courants théoriques. Ces piliers conceptuels forment ensemble une vision cohérente et optimiste de la nature humaine.

Le libre arbitre et l'autodétermination

Au cœur de la définition psychologique de l'humanisme se trouve la conviction profonde que l'être humain possède une liberté fondamentale. Contrairement aux visions déterministes du béhaviorisme et de la psychanalyse, l'approche humaniste affirme que chaque personne dispose d'une capacité innée à faire des choix conscients et responsables. Cette liberté n'est pas absolue, mais suffisamment réelle pour permettre à chacun de déterminer de manière significative sa propre existence.

Le concept d'autodétermination suggère que l'être humain n'est pas simplement le jouet de forces inconscientes ou de conditionnements externes. En effet, la personne est considérée comme l'architecte de son propre développement, capable de s'orienter vers ce qui lui semble bon et épanouissant. Cette vision s'oppose fondamentalement aux théories qui réduisent le comportement humain à des mécanismes de défense ou des réponses conditionnées.

La recherche de l'actualisation de soi

Un deuxième pilier essentiel concerne la tendance naturelle de chaque individu à développer son plein potentiel. Selon la psychologie humaniste, tout être humain possède une motivation intrinsèque à grandir, à évoluer et à se réaliser pleinement. Ce principe d'actualisation constitue une force de croissance positive qui pousse naturellement à l'épanouissement personnel.

Pour Carl Rogers, cette tendance actualisante constitue « la motivation fondamentale de la vie ». Elle représente cette capacité innée à développer pleinement ses potentialités afin de favoriser sa conservation et son enrichissement. Cette force positive oriente l'individu vers l'autonomie plutôt que vers la dépendance, et vers la maturité plutôt que vers l'immaturité.

Par ailleurs, Maslow a conceptualisé cette idée à travers sa célèbre hiérarchie des besoins, plaçant l'actualisation de soi au sommet d'une pyramide dont la base est constituée des besoins physiologiques fondamentaux. Cette progression vers l'actualisation correspond au cheminement naturel de l'être humain lorsque ses conditions de vie le permettent.

L'importance de l'expérience subjective

Troisième pilier fondamental, la valorisation de l'expérience vécue et subjective constitue une rupture significative avec l'objectivisme dominant des approches précédentes. La définition de l'humanisme psychologique accorde une place centrale à la manière dont chaque personne perçoit et interprète son propre vécu.

Selon cette perspective, comprendre un individu nécessite d'accéder à son cadre de référence interne plutôt que d'appliquer des grilles d'analyse externes. La réalité psychologique qui compte véritablement est celle perçue et ressentie par la personne elle-même. Cette phénoménologie de l'expérience subjective implique que seul l'individu peut véritablement connaître et exprimer son monde intérieur.

Une vision centrée sur l'humain

Le quatrième pilier fondateur de l'approche humaniste réside dans sa conception profondément positive de la nature humaine. La psychologie humaniste postule que l'être humain est fondamentalement bon et orienté vers la croissance. Cette vision optimiste s'oppose directement à la conception freudienne d'une nature humaine dominée par des pulsions destructrices à contrôler.

D'autre part, l'approche humaniste place la relation thérapeutique sur un pied d'égalité entre le thérapeute et le client. Le praticien n'est pas considéré comme un expert détenant un savoir supérieur mais comme un facilitateur qui crée les conditions favorables au développement personnel du client. Cette vision non-directive révolutionne la conception même de la thérapie en la transformant en un processus de croissance mutuelle plutôt qu'en un traitement médical.

Finalement, elle considère chaque personne comme unique et irréductible à des catégories diagnostiques. La singularité de l'expérience individuelle est valorisée au-delà de toute généralisation théorique, ce qui constitue probablement l'apport le plus distinctif de cette approche au sein du paysage psychologique du XXe siècle.

Les figures clés et leurs apports

Quatre pionniers extraordinaires ont façonné le mouvement humaniste en psychologie, chacun apportant une perspective unique qui a enrichi notre compréhension de l'expérience humaine. Leurs théories complémentaires constituent le fondement de cette approche centrée sur l'humanisme.

Abraham Maslow et la hiérarchie des besoins

Abraham Maslow a révolutionné notre compréhension de la motivation humaine en développant sa célèbre théorie hiérarchique des besoins. Dans son article fondateur de 1943, "A Theory of Human Motivation", il a proposé une taxonomie universelle des besoins humains structurée en cinq niveaux. Cette hiérarchie commence par les besoins physiologiques fondamentaux, puis progresse vers les besoins de sécurité, d'appartenance et d'amour, d'estime, pour culminer dans le besoin d'accomplissement de soi. Selon Maslow, lorsqu'un groupe de besoins est satisfait, un autre en occupe progressivement la place, selon cet ordre hiérarchique précis. Cependant, si un besoin précédent n'est plus satisfait, il redevient prioritaire. Cette théorie souligne notamment que l'insatisfaction répétée ou prolongée des besoins peut être pathologique.

Carl Rogers et la thérapie centrée sur la personne

Carl Rogers a développé l'Approche centrée sur la personne (ACP), initialement appelée "psychothérapie non-directive" dans les années 1940, avant d'être rebaptisée "psychothérapie centrée sur le client" après 1951. Contrairement aux approches diagnostiques traditionnelles, Rogers refusait d'établir un diagnostic qui risquerait d'enfermer le client dans une pathologie. Son approche repose sur trois attitudes fondamentales : la congruence (authenticité du thérapeute), le regard positif inconditionnel (acceptation totale du client) et la compréhension empathique. Il considérait que l'objectif de la thérapie n'était pas de résoudre les problèmes du client, mais de l'aider à déterminer ses propres objectifs et à s'auto-actualiser. Cette vision révolutionnaire a transformé la relation thérapeutique en un processus de croissance mutuelle plutôt qu'en un traitement médical.

Viktor Frankl et la quête de sens

Viktor Frankl, survivant des camps de concentration nazis, a développé la logothérapie, considérée comme la "troisième école viennoise de psychothérapie". Alors que Freud se centrait sur le principe de plaisir et Adler sur la volonté de puissance, Frankl a placé la recherche de sens au cœur de la motivation humaine. Il postulait que tout être humain est doté d'une motivation primaire qui l'oriente vers le sens de sa vie, et que la perte de sens est une cause majeure de névrose. Sa thérapie repose sur trois principes fondamentaux : la liberté de la volonté, la volonté de sens, et le sens inconditionnel de la vie. Frankl soutenait que, même dans les circonstances les plus désespérées, l'homme conserve la liberté de choisir son attitude face à sa situation.

Fritz Perls et la Gestalt-thérapie

Fritz Perls a fondé la Gestalt-thérapie dans les années 1950, une approche holistique centrée sur l'interaction constante entre l'être humain et son environnement. Le terme allemand "Gestalt" signifie "forme", soulignant l'importance de comprendre comment l'expérience humaine prend forme et s'organise. La Gestalt-thérapie se distingue par son concept central de l’« ici et maintenant », qui encourage une conscience accrue du moment présent. Cette approche se concentre sur le processus plutôt que sur le contenu, privilégiant le « comment » plutôt que le « pourquoi ». Elle vise à aider la personne à développer sa confiance en soi, à prendre conscience de ses ressources et à se reconnecter au moment présent pour devenir acteur de son propre changement.

Ce que l'on oublie souvent de dire

Malgré ses contributions significatives, la psychologie humaniste présente des angles morts rarement abordés dans les cercles académiques. Ces zones d'ombre méritent pourtant une attention particulière pour une compréhension complète de la psychologie humaniste.

La psychologie humaniste est souvent critiquée pour son approche, jugée insuffisamment scientifique. Ses détracteurs soulignent la difficulté à mesurer objectivement des concepts tels que l'actualisation de soi ou l'expérience subjective. Par ailleurs, la méthodologie qualitative privilégiée par ce courant ne permet pas toujours la réplication des résultats, critère essentiel de validation scientifique.

Les limites culturelles de l'approche

La psychologie humaniste s'est principalement développée dans un contexte occidental individualiste. Cependant, cette vision centrée sur l'autonomie et l'épanouissement personnel peut entrer en conflit avec des cultures collectivistes où l'harmonie sociale prime sur le développement individuel. Ainsi, des concepts fondamentaux comme l'actualisation de soi peuvent paraître étrangers dans certains contextes culturels non-occidentaux.

Les tensions entre libre arbitre et déterminisme

Bien que la psychologie humaniste célèbre le libre arbitre, cette vision optimiste se heurte à des réalités complexes. La notion de choix libre néglige parfois l'influence considérable des facteurs socioéconomiques, biologiques et environnementaux qui conditionnent de manière significative les possibilités réelles de développement personnel.

L'ethnocentrisme implicite dans certains concepts

Le courant contient des présupposés culturels rarement explicités. La hiérarchie des besoins de Maslow, notamment, reflète des valeurs typiquement américaines et pourrait ne pas correspondre aux priorités existentielles dans d'autres contextes socioculturels. Cette universalisation de perspectives culturellement situées constitue une forme d'ethnocentrisme subtil mais profond.

Applications modernes et croisements inattendus

La psychologie humaniste a étendu son influence bien au-delà de ses frontières théoriques initiales, infiltrant divers domaines contemporains et créant des synergies inattendues.

L'influence sur l'éducation et le développement personnel

Les principes humanistes ont profondément transformé l'éducation moderne en s'écartant des approches centrées uniquement sur la pathologie. Ils encouragent chacun à être soi-même, à l'écoute de ses sensations et de sa force créative [6]. Dans le domaine du développement personnel, la théorie pyramidale de Maslow constitue un fondement majeur, structurant les étapes vers l'accomplissement de soi [6].

L'intégration dans les pratiques de santé mentale

L'approche humaniste se caractérise par sa vision holistique, intégrant les émotions, le corps, les sentiments et les pensées [7]. Cette perspective globale considère l'individu comme un être responsable capable de trouver seul le chemin de la liberté [7]. En psychiatrie moderne, cette vision rejette l'approche purement biomédicale au profit d'une compréhension plus complète de l'accompagnement [8].

Les liens avec l'écopsychologie et les approches holistiques

L'écopsychologie, née de la rencontre entre la psychologie humaniste et les mouvements environnementalistes [9], postule que se couper de la nature revient à se couper d'une partie de soi-même [9]. Les pratiques telles que les bains de forêt ou la méditation en nature favorisent la reconnexion avec le monde vivant [9]. Cette approche transdisciplinaire propose de repenser fondamentalement notre relation au vivant.

L'art-thérapie et la créativité comme outils thérapeutiques

L'art-thérapie humaniste utilise la création comme miroir de l'expérience subjective, ce qui permet d'exprimer ce qui est difficile à verbaliser [10]Cette méthode s'adresse particulièrement aux enfants, aux adolescents et aux personnes ayant des difficultés à communiquer verbalement [11]. Le processus créatif devient ainsi un puissant catalyseur de transformation intérieure [12], où la personne passe du statut de patient à celui d'auteur de sa propre histoire [8].

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Conclusion

La psychologie humaniste nous offre ainsi une perspective précieuse sur la nature humaine, fondamentalement différente de celles des approches déterministes qui l'ont précédée. En effet, cette "troisième force" nous rappelle notre capacité innée à nous développer positivement et à réaliser notre plein potentiel. Les contributions de Maslow, Rogers, Frankl et Perls demeurent essentielles pour comprendre comment chaque personne peut atteindre un niveau supérieur d'épanouissement personnel.

Malgré les critiques portant sur son manque de rigueur scientifique et ses limites culturelles, l'approche humaniste continue d'influencer profondément plusieurs domaines contemporains. Son impact s'étend bien au-delà de la thérapie traditionnelle, transformant également l'éducation, les pratiques de santé mentale, l'écopsychologie et l'art-thérapie.

Vous pouvez désormais comprendre pourquoi cette vision optimiste de l'être humain résonne particulièrement dans notre monde moderne. La psychologie humaniste vous invite à considérer votre propre capacité d'autodétermination et votre recherche de sens comme des forces motrices naturelles. Cette perspective célèbre votre unicité tout en reconnaissant votre besoin fondamental de connexion et de croissance.

Finalement, la valeur durable de la psychologie humaniste réside peut-être dans son refus de réduire l'expérience humaine à des mécanismes simplistes. Elle nous rappelle que chaque personne mérite d'être comprise dans sa globalité, avec compassion et sans jugement. Cette vision holistique demeure sans doute sa contribution la plus précieuse à notre compréhension de la complexité humaine.

 

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